Pour la première fois, le lycée Rascol a participé au Bâtissiel, un concours national qui récompense la production collective d’une équipe d’élèves autour d’un sujet concernant la construction d’un bâtiment ou d’un ouvrage de travaux publics. L'option Architecture et Construction a pu présenté son projet de passerelle grâce à son équipe composée de Julia Suarez, Maevasoa Rafalimanana et Paul Saincry. Après un véritable parcours du combattant et de multiples péripéties, ils ont pu se rendre à la finale nationale de Paris !
L'option Energie et Environnement du bac STI2D a également présenté le projet d'une de ses élèves : Elea Fortin, au grand concours national des Olympiades. Ce concours récompense la capacité d'initiative, de recherche et d'inventivité des élèves. Elea y a présenté son projet de barbecue solaire et a remporté le Prix féminin de la solidarité et du développement durable, au niveau régional.
On en parle dans la Dépêche : "Le lycée Rascol accueille la Quinzaine de la Robotique dans le Tarn avec le centre de culture scientifique Sciences Animation et l'association Planète Sciences. Cette opération a pour but de faire découvrir les métiers de la robotique à de jeunes élèves [...] S'il paraît si important de sensibiliser les élèves aux filières de la robotique, c'est parce que le domaine représente un véritable enjeu d'avenir pour l'emploi dans la région. «Nous avons la chance de vivre dans une région portée par le secteur aéronautique. Or ce secteur est très demandeur, puisque l'avion n'est qu'un gros robot."
Ecouter l'émission sur Radio Albigès du 21 mars 2016
Suite de la semaine de l'industrie avec les deux interventions des académiciens des technologie, la quinzaine robotique nous a permis d’accueillir cinq collèges soit 184 élèves de troisièmes.
Collège Balzac (26+26 élèves)
Collège Jean Jaurès (30 élèves)
Collège de Valence d'Albi (27+25 élèves)
Collège de Cordes (20 élèves)
Collège de Graulhet (30 élèves)
ainsi que 7 groupes de seconde SI (140 élèvs) et 55 élèves de 1 SSI.
la conférence du jeudi 31 mars c'est tenues avec un groupe d'environ 30 étudiants.
les élèves de seconde SI de Bellevue ne se sont pas déplacé pour l’après midi du 31 mars.
Les élèves de collèges ou de Rascol et les enseignants ont apprécié les manipulations mise en oeuvre par l'animateur de Planéte sciences.
Nous avons profité de cette animation pour faire découvrir certaines formations du lycée aux élèves de collège, a savoir :
Une convention d'ouverture d'une classe Défense et de Sécurité Globale a été signée au lycée le 10 février entre M. Le Proviseur, la gendarmerie, le délégué militaire du Tarn et la directrice académique du Tarn.
La rencontre a fait l'objet d'un reportage sur FR3 Région, au journal de 19h :
Les élèves au top de la technologies avec les imprimantes 3D du Lycée Rascol
L'impression 3D, réalité mythique ! Ce pourrait être la synthèse de la rencontre technologique qui s'est tenue au lycée Louis-Rascol. La plateforme Produits & Processus automatisés en PME avait programmé mardi dernier une matinée sur le thème de l'impression 3D dont l'intitulé était : L'impression 3D, mythe ou réalité ? Lire l'article entier dans La Dépêche
A l’occasion de la Journée nationale du souvenir des victimes et héros de la déportation, le maire de Fontenay-aux-Roses a dévoilé une plaque à la mémoire des élèves et professeurs de l’Ecole Normale Supérieure de Fontenay, victimes de la Seconde Guerre mondiale. Parmi elles, Elisabeth Jacob, ancienne professeure au lycée Rascol (plus exactement à la SUP), déportée et gazée à Auschwitz en 1944. A cette occasion, Marylise Folch, professeure de Lettres et d'Histoire Géographie au lycée Rascol, a retracé sa vie lors d'un discours et a publié un article dans La revue du Tarn (cliquez sur Plus d'infos).
MAUD DUCOUDRAY ET CAMILLE GAYRAUD, COPILOTES AU 4L TROPHY « UN RÊVE QUI SE RÉALISE »
Maud, 20 ans, et Camille, 19 ans, sont deux Albigeoises bien dans leurs baskets et qui aiment voyager et relever des défis. En 2016, elles formeront l'équipage « Les Elles albigeoises » qui participera au 4L Trophy du 18 au 28 février prochain. Leur équipe portera les couleurs d'Albi avec un logo représentant la cathédrale qui figurera sur leur 4L. Ce sont des élèves de terminale du lycée Rascol qui ont eu carte blanche pour travailler sur le design.
KÉVIN MAZARS, PRÉSIDENT DE L'ASSOCIATION POUR LA CULTURE NUMÉRIQUE ET L'ENVIRONNEMENT (ACNE) ET RESPONSABLE DU FABLAB ALBI « UN LIEU D'ÉCHANGES POUR PARTAGER ET INNOVER »
À seulement 23 ans, ce jeune Albigeois a de la suite dans les idées. Après des études d'informatique et réseaux au lycée Rascol et d'ingénieur à Montpellier, Kévin a lancé cette année à Albi une association pour développer la culture numérique qui se rapporte aux nouvelles technologies. « Je suis parti du constat parti du constat qu'il n'y avait rien sur Albi d'un point de vue associatif dans le domaine du numérique". D'où la création de l'association et l'idée d'un FabLab, entendez laboratoire de fabrication pensé comme un lieu ouvert aux particuliers, associations et entreprises où, quel que soit son niveau de connaissance, on peut venir expérimenter, apprendre ou fabriquer tous types d’objets innovants.
Cette année encore, les étudiants de la classe préparatoire TSI (Technologie et Sciences industrielles) du lycée Louis-Rascol se sont brillamment distingués aux différents concours d'entrée aux grandes écoles d'ingénieur. En effet, Norman Kichenin a réussi la prouesse d'être admis à l'X , performance d'autant plus méritante au regard des deux places nationales proposées par l'école Polytechnique aux étudiants de TSI… Pour en savoir plus : http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/29/2186967-un-etudiant-de-rascol-a-polytechnique.html
Rascol dans la course à l'économie d'énergie. C'est devenu une tradition au sein du lycée, de ses élèves et de ses profs qui ont participé, le week-end dernier, au challenge Educ-éco à Colomiers. Deux équipes d'élèves du lycée technologique et professionnel se sont alignées avec succès avec succès au challenge 2015. Les performances font rêver : avec un litre de sans plomb 95 *, Voltycar dans la catégorie Ecocitadin élect (élèves du lycée professionnel), peut parcourir 535 km et Tucar (élèves du lycée technologique), dans la catégorie prototype, peut parcourir 1 896 km.
L'année prochaine le challenge se déroulera à Valenciennes et les deux équipes sont motivées et vont tout faire pour améliorer les résultats.
Le lycée Rascol, qui en était à sa cinquième participation, met en avant, chaque année, un véritable travail d'équipe. Une cohésion indispensable pour arriver à faire des résultats parmi les huit cents participants répartis au sein de 53 équipes. Et Rascol a fait mieux, cette année, que de la figuration !
Le proto conçu électriquement à Rascol par Rémi, Quentin, Guillaume, Romain et les autres. Photo DDM PS
Deux équipes de lycéens de Rascol et une équipe de l’école des Mines d'Albi sont, ce week-end, à Colomiers pour le challenge Educ-éco. Objectif: rouler le plus longtemps en consommant le moins possible.
53 équipes, soit 800 personnes, sont attendues du jeudi 7 au dimanche 10 mai, dans le centre-ville de Colomiers, pour la 7e édition de cette course de véhicules écoresponsables, le boulevard Émile-Calvet se transformera en véritable circuit automobile, pour la troisième et dernière année consécutive.
Durant trois jours, les spectateurs pourront assister à une compétition entre deux types de bolides fabriqués par des étudiants (collège, lycée, IUT, Polytechnique, universités...) : des prototypes et des écocitadins.
Annie Malraux entourée des élèves et des autorités compétentes au lycée Rascol
Le journée national de la Résistance a été marquée au lycée Rascol
d'Albi par un bel hommage à Augustin Malroux, député tarnais qui a dit
«non» à Pétain. Cet homme déterminé, mort en déportation a été élève de
la «Sup» au lycée Rascol, son nom est inscrit au monument aux Morts du
lycée. Mardi matin un hommage lui a été rendu en présence de Josiane
Chevalier, Préfète du Tarn, de Michel Trigosse, proviseur du lycée,
d'Annie Malroux fille de l'illustre résistant et de Marylise Folch,
professeur d'histoire.
Au lycée Rascol d'Albi, les élèves de BTS
utilisent en classe Mecagenius, le serious game (jeu sérieux) mis au
point par le laboratoire de recherches d'Albi. Une manière ludique
d'approfondir leurs connaissances en génie mécanique et de lutter contre
le décrochage scolaire.
En entrant dans la classe de BTS, on entendrait presque les mouches
voler. Cet après-midi, au lycée Rascol, les étudiants albigeois de la
filière industrialisation des produits industriels travaillent sur... un
jeu vidéo. Commercialisé l'an dernier, Mecagenius le serious game (jeu
sérieux) conçu par le laboratoire de recherches de l'université
Champollion est aujourd'hui utilisé par plus de 500 étudiants dispatchés
dans une trentaine d'établissements français.
«L'histoire de base c'est un vaisseau spatial qui s'écrase. Les
étudiants doivent trouver des solutions pour le réparer», explique
Cédric Malaterre, professeur en sciences de l'ingénieur à Rascol. Comme
dans un vrai jeu vidéo, les utilisateurs disposent d'un nombre limité de
vie et leur score s'affiche en temps réel. Au tout début, les notions
évoquées sont assez simples. Robin, élève de première année de BTS doit
par exemple apprendre à reconnaître une perceuse. Ensuite, les choses se
corsent avec par exemple de la programmation de machines. Mecagenius
dispose de trois niveaux : débutant, confirmé, et expert avec des
parties totalement en anglais. Robin en est pour l'instant au premier
niveau. Plutôt bon élève, il apprécie ce mode d'apprentissage : «C'est
une manière originale d'apprendre, on peut réviser des notions. Et puis
on est 12 heures par semaine dans cette salle, ça permet de faire une
pause.»
Éviter aux élèves en difficulté de décrocher
Depuis le mois de janvier, le jeu est utilisé en moyenne 40 minutes
par semaine en classe. Cédric Malaterre y voit beaucoup d'avantages :
«C'est un apport pédagogique pour consolider la théorie étudiée en
classe. Les élèves travaillent en autonomie. Vous voyez, il n'y a pas de
bruit. Et puis l'intérêt c'est que les élèves peuvent progresser à leur
rythme. Cela permet aux élèves en difficulté de ne pas décrocher.»Et le
moins qu'on puisse dire c'est que les élèves jouent le jeu à fond. «On a
même observé que les étudiants l'utilisaient chez eux après les cours.
Certains ont ainsi multiplié par quatre leur temps d'utilisation par
rapport aux séances de cours», remarque le professeur.
Dans le fond de la classe, une caméra filme les séances de jeu. Juste
à côté, Victor Potier observe les élèves. Doctorant en première année
de sociologie à l'université Champollion, il réalise une thèse sur
l'utilisation des serious game. Pour l'instant, il ne veut pas se
laisser aller à des conclusions hâtives mais il a quand même observé
avec stupéfaction des élèves levant les bras au ciel ou lâchant un
«yessss !» en cas de victoire. Surtout, ajoute-t-il, «ce qui est
intéressant c'est que le jeu vidéo pénètre un univers dont il est exclu à
la base», l'école.
Pour l'instant, Mecagenius est utilisé à Racol pour deux filières de
BTS et des Bac pro étudiant le génie mécanique. Le 22 mai prochain ils
participeront à la compétition régionale Mecagenius à Toulouse. À la
clé, un ticket pour la finale qui sera disputé à l'occasion du salon du
Bourget.
Les élèves du lycée Rascol se sont mobilisés pour organiser la semaine des arts./ Photo DDM, JML
Après plus de 10 ans d'existence, une nouvelle édition de la semaine des arts a ouvert ses portes au lycée Rascol d'Albi du mardi 22 au vendredi 25 avril. Cette année, le thème s'axe autour de «l'Art dans tous ses états». Pour la 2e année consécutive, la MJC d'Albi et le lycée vont collaborer pour accueillir notamment un café citoyen, en présence de Thomas Brun, le cofondateur des cafés citoyens en France. Pour les autres activités proposées, il faudra se rendre au lycée Rascol pour pouvoir profiter d'expositions de photos, de peintures et de dessins dont certains ont été réalisés par des élèves et des professeurs. Au CDI sont accessibles des œuvres réalisées autour de Jean Jaurès pour lui rendre un hommage original. Un moyen ludique qui aura permis de lier plusieurs matières comme l'histoire et l'art plastique, mais aussi la culture générale. En plus de cela, les élèves du lycée ont la possibilité d'assister à la lecture de contes originaux à l'auberge des légendes. Sous l'œil bienveillant de la proviseure adjointe Emmanuelle Vieilledent, les élèves ont travaillé d'arrache-pied à la réalisation de cette édition de la semaine des arts. Le lycée a pu compter sur de nombreux partenaires cette année pour mettre en œuvre les activités proposées comme la Scène nationale d'Albi, le centre d'art le Lait et le musée de la mode. Pour clôturer cette semaine sous le signe des arts, un concert arabo-andalou aura lieu ce soir à la salle Labérenne du lycée de 20 h 30 à 22 h 00. Une semaine bien remplie qui permettra de renforcer les liens entre la MJC et le lycée Rascol.
Dans le cadre d'un partenariat entre la MJC et le lycée Rascol d'Albi, les élèves de 1ère ES ont eu la chance de participer à des cours de théâtre et d'improvisation hier, avec Cédric et Clémentine, animateurs à la MJC. D'après Emile, élève de 1ère ES: «Les cours sont intéressants, ils permettent d'être moins timide et sont un vrai plus pour les oraux du bac. Cela permet aussi de souder la classe en découvrant la personnalité de chacun.»
Pour les animateurs, l'enjeu est de pointer les tics corporels et de langage pour les moduler et en faire des atouts. D'après Cédric, animateur à la MJC : «Ils sont dynamiques et volontaires. J'essaie de leur faire prendre souvent la parole. Au fil des séances, on voit une nette progression chez chacun d'entre eux.»
Le but de ces cours est aussi de lancer des cafés théâtre durant la semaine des Arts du 14 au 18 avril, organisé par le lycée Rascol, mais aussi de continuer ce partenariat avec la MJC.
Dans le cadre de la semaine de l'industrie, les jeunes filles de PSTI2D du lycée Rascol ont participé à une manifestation intitulée "Les filles sont au courant". Organisée par l'académie de Toulouse en partenariat avec le groupe EDF, cette action avait pour but de présenter et de valoriser les métiers de l'industrie aux élèves de filière technologique et industrielle. Après une présentation des différents groupes de métiers d'EDF, les jeunes filles ont pu rencontrer des femmes exerçant dans les différents secteurs de l'énergie et leur poser des questions sur leur parcours et leur vie professionnelle. Après ces tables rondes, une visite du site historique d'EDF Bazacle était proposée aux participantes.
Jusqu’au 21 mars, se tient la semaine mathématiques organisée par le lycée Louis-Rascol. Premier événement de cette ampleur à être accueilli par le lycée, la semaine sera marquée par de nombreuses animations (rallye maths, cinéma, théâtre, conférences, débats) ayant pour objectif de balayer vos préjugés (forcément que vous en avez !) à l’égard des maths.
Véhiculer une «culture maths»
Ce programme, destiné aux élèves de lycée, mais également aux parents, vise tout d’abord à «défendre et véhiculer une culture maths» confie Nadia Souchon professeur de mathématiques au lycée Rascol.
Découvrez à la MJC, «L'Oreille en 4» (jusqu'au 7 avril, tous les jours de 13 h à 19 h), une quinzaine de machines sonores gérées par des moteurs informatisés réalisés sous la direction artistique de Basile Robert par les élèves de la filière Bac professionnel électrotechnique
À seulement 23 ans, ce jeune Albigeois a de la suite dans les idées. Après des études d'informatique et réseaux au lycée Rascol et d'ingénieur à Montpellier, Kévin a lancé cette année à Albi une association pour développer la culture numérique qui se rapporte aux nouvelles technologies. « Je suis parti du constat parti du constat qu'il n'y avait rien sur Albi d'un point de vue associatif dans le domaine du numérique". D'où la création de l'association et l'idée d'un FabLab, entendez laboratoire de fabrication pensé comme un lieu ouvert aux particuliers, associations et entreprises où, quel que soit son niveau de connaissance, on peut venir expérimenter, apprendre ou fabriquer tous types d’objets innovants.
À seulement 23 ans, ce jeune Albigeois a de la suite dans les idées. Après des études d'informatique et réseaux au lycée Rascol et d'ingénieur à Montpellier, Kévin a lancé cette année à Albi une association pour développer la culture numérique qui se rapporte aux nouvelles technologies. « Je suis parti du constat parti du constat qu'il n'y avait rien sur Albi d'un point de vue associatif dans le domaine du numérique". D'où la création de l'association et l'idée d'un FabLab, entendez laboratoire de fabrication pensé comme un lieu ouvert aux particuliers, associations et entreprises où, quel que soit son niveau de connaissance, on peut venir expérimenter, apprendre ou fabriquer tous types d’objets innovants. 
